
Un gouvernement à l’écoute des artisans de la culture
Communiqué – « Au cours de son histoire, la région de Charlevoix-Côte-de-Beaupré-Île-d’Orléans s’est illustrée au sein de notre univers culturel québécois », affirme la candidate du Parti québécois, Nathalie Leclerc. Nos paysages et le mode de vie de nos concitoyennes et de nos concitoyens ont su inspirer nos peintres et nos écrivains. Un patrimoine très riche s’est constitué durant les trois derniers siècles (églises et maisons ancestrales). Des institutions culturelles (le Domaine Forget, le Symposium, les musées, le Manoir Mauvide-Genest...) ont, grâce à leur dynamisme, offert un programme d’activités artistiques d’une qualité exceptionnelle et disposent d’un rayonnement qui dépasse les frontières de notre région. Une société d’histoire est présente depuis une trentaine d’années pour relater les expériences humaines des résidentes et des résidents en vue de les faire connaître aux futures générations. Pour maintenir le dynamisme de la vie culturelle de notre circonscription, l’aide de l’État doit être de plus en plus substantiel. Pour y arriver, Mme Leclerc propose son plan d’action qui privilégie trois types de mesures.
Le premier groupe de mesures vise la conservation des demeures ancestrales. Beaucoup de propriétaires sont laissés à eux-mêmes quant au respect des normes de restauration du ministère de la Culture et des Communications. Ces derniers souhaitent un assouplissement des normes en vigueur, un dialogue avec les fonctionnaires pour repérer un compromis s’il y a lieu et un soutien technique et financier. « Sans cette aide de l’État, plusieurs propriétaires se voient dans l’obligation de se départir de cet héritage familial et culturel », précise la candidate aux prochaines élections. Cette situation se présente particulièrement à l’Île d’Orléans.
La deuxième intervention touche le patrimoine religieux. Nous sommes privilégiés de disposer, sur notre territoire, de temples religieux de grande valeur comme les églises de St-Joachim, de Ste-Agnès, de l’Île-aux-Coudres, la basilique de Sainte-Anne-de-Beaupré… Selon Mme Leclerc, un plan conçu avec les organismes responsables lui paraît urgent pour assurer la sauvegarde et la mise en valeur de ce patrimoine. Elle s’engage à promouvoir cette démarche et à obtenir, par la suite, une participation financière de l’État québécois dans le but de faciliter la réalisation de ce plan.
Les dernières propositions concernent le soutien financier à nos institutions culturelles d’envergure internationale, nationale et régionale comme le Domaine Forget, le Symposium international d’art contemporain et les musées (Musée de Charlevoix et d’art contemporain). Celles-ci sont des artisanes de la promotion de la musique, de la chanson québécoise, de l’art populaire et des œuvres des peintres contemporains. Pour favoriser leur développement, la future députée veillera à ce qu’elles reçoivent les allocations pertinentes pour maintenir et majorer la très grande qualité de leur programme d’activités. « Nos institutions régionales sont souvent en compétition avec celles des grandes villes comme Montréal et Québec au moment de la répartition des allocations liées au monde de la culture. Notre juste part ne semble pas toujours être au rendez-vous. Il faut être très sensible à cette réalité et combattre cette iniquité », affirme Nathalie Leclerc.