Une campagne pré-électorale très enrichissante pour Nathalie Leclerc
Communiqué – « Je termine avec beaucoup d’enthousiasme ma campagne pré-électorale qui a débuté en février 2018. J’ai eu la chance de parcourir l’ensemble de ma circonscription pour constater à nouveau la beauté de nos paysages, la couleur de chacune de nos municipalités et la fierté de mes concitoyennes et de mes concitoyens de participer au développement de notre beau comté et enfin, le sens de l’hospitalité qu’on reconnaît fréquemment aux gens de Charlevoix-Côte-de-Beaupré », souligne Mme Leclerc.
Ces nombreux contacts avec la très grande majorité des maires, des organismes communautaires, des mouvements de jeunes et des gens d’affaires l’ont sensibilisée à diverses situations problématiques vécues par les « personnes de chez-nous ». Ces rencontres lui ont permis de connaître leur quotidien qui présente à la fois des joies et des souffrances.
Elles lui ont offert l’opportunité d’échanger avec les responsables de leurs rêves, de leurs aspirations et parfois de leurs insatisfactions vis-à-vis le gouvernement.
« Cette attitude de l’écoute que j’ai pratiquée au cours de cette tournée, m’aidera à déterminer ma plate-forme électorale qui répondra aux véritables besoins de mes concitoyenne et de mes concitoyens », précise la candidate du Parti québécois.
Mme Leclerc a été fascinée par ce sentiment de fierté des gens de son comté. L’attachement, selon elle, de chacune et de chacun au bien commun de sa ville ou de son village est remarquable. L’intérêt que l’on porte au développement harmonieux du Québec est à signaler. Cette volonté de vouloir construire l’avenir pour les jeunes générations est présent. On insiste sur la nécessité de transmettre aux jeunes cette fierté par l’enseignement d’une histoire régionale. En invoquant cette histoire, certaines personnes font allusion aux relations historiques entre la Côte-de-Beaupré, l’Île d’Orléans et Charlevoix. Ils relèvent des intérêts économiques et culturels entre ces villes et ces villages. Ils mentionnent, entre autres, le tourisme, l’agroalimentaire. Ils insistent sur le patrimoine religieux et culturel. Ils ont constaté certains problèmes communs d’organisation des services éducatifs dans le réseau des écoles primaires.
Pour préparer l’avenir de notre circonscription, les personnes rencontrées souhaitent une relation renouvelée des municipalités avec le gouvernement du Québec. Un des commentaires, que Mme Leclerc a relevé fréquemment, vise l’allégement de la bureaucratie. Plusieurs soulèvent le phénomène de « la trop grande paperasse » exigée pour faire cheminer un projet, la lourdeur du processus de décision, l’inaccessibilité de certaines informations et le manque de transparence. On mentionne, à titre d’exemple, le projet de l’hôpital de La Malbaie.
Ils désirent dans certains dossiers une présence plus forte de fonctionnaires sur le terrain. Ils aspirent à connaître la vision globale des ministères et leur plan d’action (éducation, agriculture...). Ils notent parfois un manque de confiance du gouvernement envers les municipalités et les communautés locales. Les municipalités devraient bénéficier d’une plus grande autonomie. Ils espèrent, à l’avenir, un rôle plus dynamique de la part du député. La personne élue ne devrait pas seulement être la « messagère » du gouvernement. Elle devrait rencontrer les citoyennes et les citoyens des municipalités un certain nombre de fois par année pour présenter un bilan de ses activités à l’Assemblée nationale et échanger avec les concitoyennes et les concitoyens sur les dossiers à privilégier et sur ses prises de position.
Selon le secteur des activités des personnes rencontrées, des recommandations très précises ont été formulées à la candidate. D’ailleurs, Nathalie Leclerc indique que plusieurs d’entre elles figureront dans sa plate-forme locale, présentée au début de la campagne électorale.
« Ce contact avec la population, pour mieux les représenter, m’apparaît vital. Il faut partir des besoins des gens pour repérer des solutions et non identifier des solutions dans son bureau en vue de les imposer », conclut Mme Leclerc.
La candidate du Parti québécois se dit fière d’avoir accepté de se présenter dans Charlevoix-Côte-de-Beaupré. « Je suis une fille de l’Île d’Orléans qui apprécie les beaux paysages, le patrimoine, la culture, l’attitude hospitalière des résidentes et des résidents de mon comté. Je veux contribuer à son développement et à faire connaître ce beau coin de pays tant à l’échelle régionale, nationale et internationale », affirme-t-elle.
Le réseau de connaissances que j’ai tenté de construire graduellement, depuis sept mois, fait de moi une meilleure candidate. Si je suis élue députée, j’assumerai mes responsabilités avec la collaboration de tous ces partenaires que sont, les préfets des MRC, les maires des municipalités, les organismes communautaires, les gens d’affaires et les concitoyennes et les concitoyens de mon comté.
« C’est ensemble que nous réaliserons nos projets » conclut Mme Leclerc.
