Quand relance rime avec croissance
Sainte-Anne-de-Beaupré - (Québec) — Après six ans de stagnation et de dépenses, les conservateurs du Canada ont un plan détaillé pour agir pour la croissance et la création d’emplois. Ce plan est plus nécessaire que jamais dans notre région pour laquelle les effets économiques de la pandémie sont amplifiées selon Véronique Laprise, la candidate conservatrice dans Beauport – Côte-de-Beaupré – Île d’Orléans – Charlevoix.
« Il y avait déjà un problème d’accès à l’emploi ET de main d’œuvre avant la pandémie. Maintenant, l’économie canadienne ralentit. Le Canada a actuellement un taux d’inflation de 3,7%, le plus élevé en 20 ans. Imaginez l’effet local; tout coûte plus cher, du logement à l’épicerie, en passant par l’essence… et ici on ne peut pas aussi facilement prendre le transport en commun et bénéficier des programmes fédéraux qui avantagent les gens en ville. » déclare Mme Laprise.
Un gouvernement conservateur va :
- Encourager le retour au travail pour ceux qui sont aptes à le faire;
- Récupérer le million d’emplois perdus pendant la pandémie;
- Garantir des emplois sécuritaires, stables et bien rémunérées;
- Aider nos PME et offrir des incitatifs pour en démarrer de nouvelles;
- Réduire le fardeau de la réglementation;
- Offrir des incitatifs à l’innovation, pour la recherche avancée, les
écotechnologies et l’établissement en région.
- Développer l’infrastructure partout au pays, ce qui comprend un accès à Internet
haute vitesse d’ici 2025.
« Une économie déclinante avec une inflation croissante fait en sorte que les Canadiens soient laissés pour compte alors que le coût de la vie continue d’augmenter. C’est une conséquence directe des dépenses hors de contrôle de Justin Trudeau, trop souvent appuyée par ses amis du Bloc, pour des choses qui ne créent aucune croissance. » ajoute Mme Laprise.
Comme députée, je vais me battre pour ma région. Je vais exiger que les programmes fédéraux soient suffisamment flexibles pour s’adapter à la réalité rurale et c’est exactement ce qui est cœur de la vision de mon chef Erin O’Toole. » conclue Mme Laprise.